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En cent trente ans d’existence, l’ACV a connu 14 présidents et 2 présidentes, dont 8 vétérinaires praticiens (50 %), 3 professeurs (18,75 %), 3 vétérinaires de la fonction publique (18,75 %) et 2 vétérinaires militaires (12,50 %). Au total les vétérinaires praticiens ont assuré la présidence durant 42 ans, les professeurs, 40 ans, les vétérinaires de la fonction publique, 26 ans et enfin les vétérinaires militaires, 22 ans.
1890/1903 : Camille Leblanc (Vétérinaire praticien)
1903 : Edmond Nocard (Professeur)
1903/1909 : Saint Yves Ménard (Vétérinaire de la fonction publique)
1909/1916 : Edmond Lavalard (Vétérinaire militaire)
1916 : Jean-Baptiste Brosse (Vétérinaire praticien)
1917/1919 : Hippolyte Rossignol (Vétérinaire praticien)
1920/1935 : Paul Dechambre (Professeur)
1935/1939 : Paul Rossignol (Vétérinaire praticien)
1939/1954 : Léon Vivien (Vétérinaire militaire / Général)
1954/1978 : Clément Bressou (Professeur)
1978/1982 : Jean Durieux (Vétérinaire praticien)
1982/1998 : Jean-Pierre Marty (Vétérinaire de la fonction publique)
1998/2002 : Ghislain Gielfrich (Vétérinaire de la fonction publique)
2002/2010 : Bernard Wilmet (Vétérinaire praticien)
2010/2019 : Véronique Bianchetti (Vétérinaire praticienne)
2019/xxxx : Dona Sauvage (Vétérinaire praticienne)
il fut le premier président, du 22 octobre 1890 au 2 août 1903. Il était praticien à Paris, faubourg Poissonnière et membre de l’Académie de médecine.
Edmond Isidore Étienne Nocard, né le 29 janvier 1850 à Provins (Seine-et-Marne) et mort le 2 août 1903 en son domicile de Saint-Maurice (Val-de-Marne), était un vétérinaire et microbiologiste français.
Il étudia la médecine vétérinaire à l'École nationale vétérinaire d'Alfort de 1868 à 1871 puis, après son service militaire, de 1871 à 1873. De 1873 à 1878 il dirigea le Service Clinique de cette école, travaillant avec le Dr Du Mesnil. En 1876 il fut chargé de créer une nouvelle revue, Les Archives vétérinaires, où il a publié un grand nombre d'articles scientifiques concernant la médecine, la chirurgie, l'hygiène et la jurisprudence. En 1878 il fut reçu dans un concours public comme professeur de médecine vétérinaire clinique et chirurgicale à l'École Vétérinaire. Parmi ses anciens élèves, dont beaucoup devinrent célèbres, on trouve Camille Guérin, le codécouvreur du Bacille de Calmette et Guérin BCG
En 1880 il entra comme assistant au laboratoire de Pasteur à Paris. Il y aida Pasteur et Roux dans leurs expériences de vaccination d'animaux contre le charbon à Pouilly-le-Fort, inspiré par la découverte d'Henry Toussaint. En 1883, il se rendit en Égypte avec Roux, Straus et Thuillier, pour y étudier une épidémie de choléra, sans parvenir à isoler le germe responsable de la maladie. Il revint la même année à Maisons-Alfort où il créa un laboratoire de recherches bien équipé, en liaison étroite avec Pasteur. Pendant les trois années qui suivirent, il donna la preuve de sa grande compétence du travail de laboratoire dans la nouvelle science qu'était la bactériologie, en mettant au point un certain nombre de nouvelles techniques, comme des méthodes pour séparer le sérum du sang, de nouveaux milieux de culture pour le bacille de la tuberculose, l'introduction de l'anesthésie pour les grands animaux au moyen de l'hydrate de chloral par voie intraveineuse, et également des techniques permettant de lutter contre le tétanos.
Ses réalisations scientifiques et théoriques furent récompensées, en 1887, par le titre de directeur de l'École et la chaire des maladies infectieuses ; en 1888, on l'invita à devenir membre du premier comité de rédaction des Annales de l'Institut Pasteur. En 1895 il devint membre à part entière de l'Institut Pasteur. De 1892 à 1896, par une série de communications, de conférences, de brochures et de démonstrations, il s'efforça de convaincre les médecins et le grand public que l'utilisation de la tuberculine de Robert Koch pourrait servir de base à la prévention de la tuberculose bovine. Il publia "La Tuberculose Bovine : ses dangers, ses rapports avec la tuberculose humaine classique."
La principale contribution de Nocard à la médecine fut la découverte de l'espèce de bactéries qui fut appelée en son honneur Nocardia. Elle provoque la nocardiose, maladie qui se manifeste surtout chez des animaux économiquement importants, comme chez les bovins sous la forme du farcin, pour lequel il découvrit la première variété de Nocardia, appelée par lui au début Streptothrix farcinica. Nocardia peut aussi provoquer des maladies chez les humains, particulièrement chez les patients immunodéprimés, comme les sidéens.
Dans le domaine de la pathologie vétérinaire il découvrit l'agent pathogène responsable de la mammite enzootique, Streptococcus agalactiae. Il découvrit aussi le microbe qui provoque la péripneumonie bovine et il étudia la psittacose.
D’abord professeur de zootechnie, il fut directeur adjoint du jardin d’acclimatation puis directeur des services de vaccine de la ville de Paris en 1889, année de création de l’ACV.
Edmond Lavalard (1839-1916). Fils de militaire, enfant de troupe, il s’engage le 31 janvier 1856 et intègre la même année l’école d’Alfort à titre militaire. Il entre à l’école de cavalerie de Saumur en 1860. Y jugeant les perspectives de carrière trop modestes, il quitte l’armée pour la société générale des omnibus de Paris.
Jean Baptiste Brosse (1844-1916) n’est resté président que quelques mois en 1916 car décéda avant même d’avoir pu présider le Conseil d’administration de l’ACV.
Joseph Hippolyte Rossignol, né à Pierre-de-Bresse (Saône-et-Loire) le 30 juillet 1837 et mort le 27 novembre 1919 à Melun (Seine-et-Marne), est un vétérinaire français. Il est le fils d'un vétérinaire Jean Appolline Rossignol (1813-1881) et de Joséphine Marguerite Franon (1816-1892) Son père entretient une amitié avec des vétérinaires enseignants : Jean-Henri Magne et Félix Lecoq, qu'Hippolyte rencontra donc enfant. Après de bonnes études au collège de Dole (Jura) il entra en 1856 à l’École Vétérinaire de Lyon, alors dirigée par Lecoq. Il en sort diplômé au premier rang, en 1860 et il vient s'installer en Seine-et-Marne à Montereau-Fault-Yonne vers le milieu de 1861. Il épouse, le 12 janvier 1865 à Chéroy (Yonne), Marie Georgette Guillaume (1846-1925) avec laquelle il aura deux fils : Paul Maurice Joseph Rossignol (1866-1948) et Lucien Appoline Rossignol (1870-1940) En 1868, il quitte Montereau et retourne dans son pays natal où il s'installe agriculteur. Durant la guerre franco-allemande de 1870, il est élu officier dans une compagnie de gardes nationaux, où il ravitaille en fourrages l'armée de Garibaldi, lors de la bataille de Dijon. Après l'armistice, il se dépensa avec ardeur pour l'élection des candidats républicains à l'assemblée nationale. En 1873, il revient exercer la médecine vétérinaire en Seine-et-Marne et s'installe à Melun où il se fait rapidement une clientèle. Il est constamment élu conseiller municipal de Melun de 1882 à 1896 ; il est administrateur de l'hospice de Melun du 25 février 1882 au 19 novembre 1892. Il s'attacha à la création d'organisations professionnelles pour lutter contre l'empirisme encore en vigueur, alors, dans cette profession. Dès 1861, il seconda son collègue René Pouteau, de Melun, dans son projet de créer une société de médecine vétérinaire en Seine-et-Marne, et en décembre 1861 que fut fondée, à Melun, la première société de praticiens vétérinaires de la région parisienne. Il y proposa l'organisation d'un Congrès national vétérinaire dont le but principal devait être la préparation d'un projet de loi réglementant l'exercice de la médecine vétérinaire. Le projet échoua. D'une volonté déterminée, à son retour en Seine-et-Marne, il reprend sa proposition de 1862 relative à un Congrès National vétérinaire dont il demande la tenue en 1878, au moment de l'Exposition universelle. De ce congrès sortit un projet de loi sur la police sanitaire. En février 1879, il fonde la Société de Médecine vétérinaire pratique par la réunion des sociétés départementales de Seine-et-Oise, de Seine-et-Marne et du Loiret ; il en fut le secrétaire général. Le 15 juillet 1879, il fonde la revue l'Echo vétérinaire avec ses confrères Jean-François Quivogne, Thierry, Émilien Griolet et Larmet ; il en quitte la rédaction suite à une brouille. En 1881, il fonde, avec Garnier et Biot, la revue "La Presse vétérinaire".
Professeur de zootechnie à l’école d’Alfort et à l’institut agronomique de Grignon. Durant 15 années, il porta l'ACV à son apogée.
Fils d’Hippolyte Rossignol, il reprend les combats de son père tout comme Camille avait repris les combats de son père Urbain Leblanc. Il préside l’ACV durant 4 ans du 21 février 1935 au 4 avril 1939.
Général Léon Vivien (1876-1967), 15 ans président de l’ACV, géra la période de guerre et empêcha l’expropriation du domaine de la Massaye au profit de la Marine nationale. Il fera la plus grande partie de sa carrière à l’administration centrale du ministère de la Guerre.
Clément Bressou (1887-1979) né le 22 février 1887 à Montauban, fit de brillantes études secondaires ; il fut aussi sportif, capitaine de l’équipe de rugby.
Au cours de sa scolarité à l’École nationale vétérinaire de Toulouse (1906-1910), il fréquenta les milieux littéraires et artistiques de Toulouse, et participa activement à la vie culturelle et sportive de l’École, démontrant, déjà, « ses prodigieuses qualités d’animateur », notamment comme président du Cercle des élèves.
A la sortie de l’Ecole, il y fut engagé comme chef de travaux, accomplit son service militaire (1910-1912), puis fut mobilisé, en août 1914, pour plus de quatre ans. En 1920, il devint professeur en charge de la chaire d’anatomie… à l’EnvT et, en 1926, à Alfort. En tant qu’enseignant, il a marqué l’esprit des étudiants de dizaines de promotions. Il savait transmettre sa passion de l’anatomie en alliant des dons d’orateur et de dessinateur à une mémoire extraordinaire. Il acceptait toujours diverses charges en supplément.
A partir de 1934, il cumula cette fonction et celle de directeur de l’École nationale vétérinaire d’Alfort jusqu’à sa retraite en 1957 ; il fut le directeur restant le plus longtemps à ce poste, pendant 23 ans. Clément Bressou a été membre des Académies de médecine, des sciences et vétérinaire.
Il fut un homme d’action et l’un des plus grands représentant de la profession de son époque.
Président de l’ACV, là encore avec le plus long mandat, il connut la période faste des Trente Glorieuses (jusqu’à 2700 membres) avec de nombreuses actions ; et pendant 14 ans (1954 à 1969), il soutint la publication d’un bulletin de l’ACV, « Actualités et Cultures vétérinaires ».
Jean Durieux est né le 28 juin 1903, à Hergnies, près de Valenciennes. Le jeune Durieux poursuit d'excellentes études secondaires au Lycée de Marcq-en-Barœul, près de Lille. Ses efforts sont brillamment couronnés en 1921 par un baccalauréat classique. Il passe le concours vétérinaire en 1921 et est admis à l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort. Il obtient le diplôme de vétérinaire en 1925, avec le titre de lauréat de l'Ecole d'Alfort. L'année suivante il soutient devant la Faculté de Médecine de Paris une thèse de Doctorat intitulée : « Contribution à l'étude de la paralysie pénienne du cheval. Son traitement chirurgical ». Il devient ensuite élève attaché au laboratoire de parasitologie auprès du Pr Henry et du Dr Ch. l.eblois. Vétérinaire diplômé d'Alfort et titulaire du Doctorat vétérinaire, Jean Durieux est invité à remplir ses obligations militaires. D'abord à l'Ecole d'application de Saumur où son excellent travail lui permet de choisir les affectations successives d'Évreux et de Rouen.
C'est là, à Meaux, qu'il s'établit en clientèle rurale en 1927. En marge de sa clientèle, il se consacrer à la recherche appliquée et à des œuvres professionnelles. Il est Secrétaire général et Président de l'Association Centrale des Vétérinaires durant 28 années.
Pendant ce temps, Mme Durieux apporte de son côté, une importante contribution complémentaire au sein de l'Association Française des Femmes Vétérinaires.
Président de l'Académie Vétérinaire de France en 1952, il a représenté notre Compagnie aux manifestations du tri-centenaire de l'Académie des Sciences. Il était aussi membre du C.A. de la Société des Anciens élèves d'Alfort, Vice-Président de l'Amicale de l'École de Perfectionnement des Vétérinaires biologistes de la Première région militaire, membre des Commissions permanentes des Comités consultatifs de la protection sanitaire et qualitative des denrées d'origine animale au Ministère de l'Agriculture.
Trois distinctions officielles sont venues couronner cette carrière : 1958, le ruban de Chevalier de la Légion d'Honneur ; 1960, la rosette du Mérite Militaire ; 1965, la rosette d'Officier du Mérite Agricole.
Jean-Pierre Marty est né le 16 juin 1923 à Verneuil-sur-Avre (Eure), dans une famille de huit enfants. Son père, professeur de latin et d’anglais à l’Ecole des Roches, collège réputé dont il devint ensuite le directeur, lui dispensa une éducation sévère.
Après ses « deux bacs » (1940 et 1041), Jean-Pierre Marty s’inscrit en Propédeutique à la Sorbonne. Il obtient son Certificat d’Etudes Physiques, Chimiques et Biologiques, puis est reçu à l’Ecole vétérinaire d’Alfort en septembre 1943. Diplômé en 1947, il suit les cours de « l’Exo », l’Institut de Médecine Vétérinaire exotique qui donna naissance en 1948 à l’Institut d’Elevage et de Médecine Vétérinaire des Pays Tropicaux (IEMVT). Il intègre, aussitôt diplômé, l’Administration coloniale, et rejoint sa première affectation en Afrique : nommé à Kankan, en qualité de Chef de la Circonscription d’élevage de Haute-Guinée, Il y restera jusqu’en 1953.
Il devient ensuite Chef du Service de l’Elevage du Dahomey, puis de retour à Paris de 1954 à 1956, il est nommé adjoint à l’Inspecteur général - Chef du service de l’Elevage du ministère de la France d’Outre-Mer.
Fort de cette compétence, il va occuper à partir de 1957 le poste de Chef du Service de l’Elevage en Nouvelle-Calédonie, où il séjournera jusqu’en 1960.
En 1960, de retour à Paris, Jean-Pierre Marty rejoint brièvement les rangs de la SCET-International (Société Centrale pour l’Equipement du Territoire-International, filiale de la Caisse des Dépôts). S’ouvre ensuite pour lui une longue carrière d’expert, au cours de laquelle il s’emploie à construire, suivre ou évaluer de grands projets de production de viande bovine ou ovine, dans d’innombrables pays d’Afrique du Nord, d’Afrique sous le Sahara, d’Amérique du sud, du Pacifique et même d’URSS...
En 1974, Il est nommé Inspecteur général de la Coopération Technique Internationale au ministère de l’Agriculture, et Président du Conseil d’Administration de l’IEMVT.
En 1975, il est porté par ses pairs à la présidence de la Société Vétérinaire Pratique de France, la plus ancienne organisation professionnelle vétérinaire. Sa générosité le conduit à accepter, en 1977, la fonction de Secrétaire général de l’Association Centrale d’Entraide des Vétérinaires, qu’il occupera jusqu’à en prendre la présidence en 1999. Il prendra sa retraite en 1983.
Il aura incarné à la perfection le modèle même des grands experts qui ont brillamment illustré la compétence française à l’international et profondément marqué la période des « Trente Glorieuses ».
Jean-Pierre Marty était Chevalier de la Légion d’Honneur et Officier du Mérite agricole.
Ghislain Gielfrich, Alfort 1952, Contrôleur général honoraire des services vétérinaires, a été un membre important dans la vie et l'ACV.
Ancien directeur des abattoirs de Rennes puis Directeur des Services Vétérinaires d'Ille et Vilaine, Directeur général adjoint du Centre national d'études vétérinaires et alimentaires, ayant pris sa retraite à Rennes, il a souvent représenté l'ACV dans les discussions pour la location d'une partie du domaine de La Massaye, situé à Guichen (35), avec Edmond Hervé, au Centre Hospitalier Universitaire de Rennes ainsi que de l’implantation d’un centre aéré pour cette même ville. Rigoureux, précis, disponible, bien au fait des démarches administratives, il était un ardent et apprécié défenseur du domaine de La Massaye.
Succédant à JP Marty en 1998, il avait présidé l'ACV jusqu'en mars 2002 et tous les membres de notre conseil d'administration appréciaient sa gentillesse, son savoir et son dévouement pour la profession, cherchant toujours à aider plus nos sociétaires, moralement et financièrement. Nommé président d’honneur, et en qualité d’administrateur, il continuait à participer à nos réunions, nous apportant sa précieuse expérience et son savoir sur l'histoire de notre association.
Bernard Wilmet a été praticien à Issy les Moulineaux, exerçant en clientèle canine.
Il a animé très longtemps sa région en étant délégué syndical au SNVRP puis en présidant le Conseil Régional de l’Ordre d’Île de France. Il avait, bien avant l’essor des systèmes de garde collective, mis en place le service de garde dans son secteur, rapprochant ainsi les confrères dans un souci de service rendu auprès de la clientèle.
Il a été décoré chevalier dans l’Ordre national du Mérite agricole ainsi que dans l’Ordre de la Légion d’Honneur.
Il a été ensuite élu à la présidence de l’ACV en 2002, et ce jusqu’en 2011.
Il a initié la vente du domaine de La Massage, généreusement léguée par notre confrère Jean Baptiste Victor Even. En 2005, il a obtenu de la préfecture une modification des statuts autorisant l’aide aux futurs confrères fréquentant les ENV boursiers de l’État. Ces secours représentent une part croissante des aides distribués par l’ACV.
Véronique Bianchetti, Alfort 1973, a partagé son activité professionnelle entre la médecine canine à Rueil-Malmaison et Boulogne Billancourt et les missions dans le domaine de l’hygiène alimentaire.
Elle a siégé au conseil régional de l’Ordre d’Île de France puis au Conseil national, Vice Présidente jusqu’en 2008, chargée de la communication de la profession et participant à la préparation des textes législatifs et réglementaires codifiant l’exercice en groupe. Elle a participé aux conseils d’administration de la la CARPV ainsi qu’à ceux de l’ACV.
Décorée chevalier dans l’Ordre National du Mérite et dans l’Ordre de la Légion d’Honneur, elle a été élue présidente de l’ACV à la suite de Bernard Wilmet et ce jusqu’en 2019.
Elle a finalisé la vente du domaine de La Massaye, avec l’appui du Conseil d’administration et en particulier d’Hubert Chauchet.
Sortie d’Alfort en 1975 Dona sauvage a exercé en canine à Saint-Cyr sur Loire, commune limitrophe de Tours en Indre et Loire jusqu’en 2012. Elle a été conseillère ordinale de la région centre puis élue au CNOV de 2001 à 2013 où elle a assumé la fonction de Secrétaire générale pendant six ans. A ce titre elle a été membre du Conseil d’administration de la CARPV jusqu’en 2012.
Conseillère municipale de la commune où elle exerçait pendant 25 ans dont 12 ans comme adjointe au maire, elle est devenue membre du Conseil d’administration de l’ACV depuis 2013 et a été élue présidente en mai 2019...